Avec le nombre de taches il apparaît aussi des zones plus lumineuses à la surface du Soleil. Ainsi la luminosité du Soleil augmente d’environ 0,1% lors du maximum d’activité. C’est faible mais cela a des conséquences sensibles sur notre climat (Exemple : Minimum de Maunder de 1645 à 1715 qui fut une période quasiment sans taches solaires et durant laquelle il faisait très froid : on l'a nommée "petit âge glaciaire").
Une analyse détaillée des groupes de taches met en évidence le champ magnétique de ceux-ci. Si les taches de tête ont un champ magnétique Nord, au cycle suivant elles auront un champ magnétique Sud. La polarité des taches est inverse dans l'autre hémisphère.
Cela fait dire à certains que la durée du cycle solaire est en fait de 22ans.